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dimanche 23 février 2014

Quan's Travelogues: The Ambassador of Second Life

Récits de Quan: L'ambassadeur de Second Life : Moya dans son Office de Tourisme de Moya Land Second Life à Arte Genova Je pense qu'il n'ya pas de deuxième artiste dans Second Life qui a une const ...

samedi 4 janvier 2014

La machine logiciel à créer des oeuvres

Pose des premiers pixels de l'University of Moya (à l'est des îles Moya) avec les début de la machine logiciel à créer des oeuvres destinées (à partir des archives "Moya") à agrémenter l'univers virtuel qui accueillera le transfert du cerveau dans la machine quand cela sera possible. Les campus de l'université des îles Moya se destinent à mettre en place les outils nécessaires à l'étude de la vie à l’intérieur des mondes virtuels et de préparer les bases d'une vie autonome afin de permettre au cerveau humain d'être transféré hors du corps réel vers un avatar pour vivre à l'interieur de ce monde ou comme base logistique à la mise en mouvement d'un corps robotique dans le réel. D'autres machines logiciels transformeront le réel en virtualité viable et vivable afin de permettre une vie virtuelle avant que ne soit possible le tranfert de l'esprit vers elle. l'université servira de cas d'école à l'étude plus générale des protocoles à mettre en oeuvre.

simulation informatique du cerveau - Principe d'indépendance du substrat

Le principe d'indépendance du substrat ou principe d'indépendance du support est une réponse possible au problème corps-esprit proposée par Nick Bostrom. Constatant que la conscience est « liée » au cerveau, le principe d'indépendance du substrat est la supposition que la conscience n'est pas attachée à la matière même du cerveau (molécules, cellules) mais à certaines de ses caractéristiques qui pourraient être reproduites dans une simulation informatique de cerveau, simulation qui pourrait alors elle aussi être le siège d'une conscience.Ce principe d'indépendance du substrat est un argument de poids en faveur de l'hypothèse de simulation, selon laquelle nous vivons dans une réalité simulée. En effet, s'il est exact, alors il est probable que l'humanité pourra un jour simuler une conscience, puis, avec l'accroissement de ses capacités de calcul, simuler des mondes entiers et un nombre très grand de consciences, plus grand que le nombre d'humains réels ; alors des consciences prises au hasard (par exemple, les nôtres) auront plus de chances d'être simulées que réelles.
Patrick Moya - "les avatars de Moya" installation Musée d'Anthropologie de Florence
 dans le cadre de l'exposition  Rinascimento Virtuale organisée par le critique Mario Gerosa  en 2008 

(références Wikipedia)

Téléchargement de l'esprit - du cerveau à l'ordinateur

Le téléchargement de l'esprit (Mind uploading en anglais) est une technique hypothétique qui pourrait permettre de transférer un esprit d'un cerveau à un ordinateur, en l'ayant numérisé au préalable. Un ordinateur pourrait alors reconstituer l'esprit par la simulation de son fonctionnement, sans que l'on ne puisse distinguer un cerveau biologique « réel » d'un cerveau simuléFondements théoriques
Les neurosciences et le courant scientifique du béhaviorisme ou comportementalisme (qui concerne aussi bien les spécialistes du langage que les psychologues) considèrent que des fonctions importantes telles que l'apprentissage, la mémorisation, la conscience, ne sont que les manifestations des processus physiques et électrochimiques à l’œuvre dans le cerveau. À ce titre, ces fonctions sont gouvernées par les lois de la physique. Bien que ce point soit historiquement contesté par plusieurs courants philosophiques, de nombreux chercheurs tels que Ray Jackendoff pour la linguistique par exemple, considèrent que les facultés cognitives sont soumises aux lois de la physique; Christof Koch et Giulio Tononi ont publié dans la revue IEEE Spectrum un article dans lequel ils affirment :
« la conscience est une part de la nature. Nous pensons qu'elle ne dépend que des mathématiques et de la logique, ainsi que des lois mal connues de la physique, de la chimie et de la biologie; il n'y a rien de magique ou d'un autre monde dans cela. »
Ainsi le concept de téléchargement de l'esprit repose sur une philosophie mécaniste et sa vision matérielle de l'esprit, déniant ainsi toute considération vitaliste de la vie humaine et de la conscience.
De nombreux scientifiques des disciplines de l'informatique et des neurosciences ont prédit que les ordinateurs seraient capables de reproduire la conscience. Outre Koch et Tononi, Douglas Hofstadter, Jeff Hawkins, Marvin Minsky, Randal A. Koene et Rodolfo Llinas ont également pris des positions allant dans ce sens. Selon eux, une machine offrant une capacité de traitement suffisante doit pouvoir servir de substrat pour le chargement d'une copie d'un modèle cognitif extrait d'un cerveau.
En intelligence artificielle
Il conviendrait en effet de disposer d'un modèle computationnel cognitif fiable (c'est-à-dire un système logique susceptible de reproduire le fonctionnement d'un cerveau humain). Certaines recherches vont dans ce sens tel le projet NeuroSpin qui par imagerie cérébrale tente de comprendre certains aspects du modèle cognitif du cerveau humain. La découverte des mécanismes cérébraux ne suffit pas. Il conviendrait également de disposer d'un cerveau synthétique susceptible de recevoir le modèle cognitif. Le projet Blue Brain, littéralement « cerveau bleu », a pour objectif de créer un cerveau synthétique par processus d’ingénierie inverse. Fondé en mai 2005 à l'École Polytechnique de Lausanne en Suisse, ce projet étudie l'architecture et les principes fonctionnels du cerveau en partenariat avec IBMMême si le principe relève très largement de la science fiction, en théorie, le téléchargement des structures neuronales d'un individu dans un système numérique pourrait permettre de simuler le fonctionnement cognitif d'un individu. Les obstacles à franchir pour atteindre ce type de fonctionnalité sont néanmoins innombrables et très difficiles à résoudre.
Le plus ardu des problèmes posé par une tentative de sauvegarde de l'organisation d'un cerveau humain serait celle de la récupération du modèle cérébral d'un individu. À ce jour, aucune technologie n'est en mesure de numériser la complexité du cerveau. Ce dernier contient plus de 100 milliards de cellules nerveuses appelées neurones, toutes reliées individuellement avec leurs voisines par l'intermédiaire des axones et des dendrites. Les signaux échangés entre les terminaisons de ces connexions dites synaptiques sont encore mal connus et reposent sur des échanges à la fois chimiques et électriques.
Néanmoins, plusieurs théoriciens ont présenté des modèles de cerveau artificiel qui cherchent à estimer la puissance de calcul et de stockage qui serait nécessaire pour mener à bien une simulation du cerveau complète ou partielle. Ces modèles considèrent tous qu'il faudrait des décennies avant que la technologie ne permette de tester ces modèles, en admettant par ailleurs que la Loi de Moore s'applique toujours.
Dans la culture et la philosophie
La question de la reproduction des mécanismes du cerveau humain par une machine est un sujet étudié par les philosophes. Cette question est soulevée par la question de la dualité de l'esprit. En philosophie, le dualisme se réfère à une vision de la relation matière-esprit fondée sur l'affirmation que les phénomènes mentaux possèdent des caractéristiques qui sortent du champ de la physique. Néanmoins, la culture et en particulier la littérature de science fiction n'ont pas hésité à explorer le concept de transfert de la personnalité d'un individu dans une machine.
(références Wikipedia)